Le 18 mai prochain, soit dans une semaine, pas moins de 337 millions d’actions Facebook seront libérées sur le marché boursier. Suite à une demande du plus grand réseau social, l’autorité compétente américaine a étudié le dossier et a accepté l’introduction de l’entreprise à la Bourse. Ces titres devraient être mis sur le marché à un prix initial qui vacillerait entre 28 et 35 dollars, même si devant l’engouement des investisseurs privés et institutionnels, des spécialistes estiment que ce montant pourrait être revu à la hausse.

 

 
Pour faire partie de l’aventure, il semblerait que les particuliers doivent attendre encore un peu. On murmure que les actions seront réservées en premier lieu aux investisseurs institutionnels. On peut penser aux fonds de pension par exemple. Et puisqu’il est estimé qu’il y aura plus de demandes du côté des investisseurs institutionnels que d’actions, les particuliers ne seront sûrement pas servis tout de suite. Pour un particulier, en plus d’attendre, il faudra encore ouvrir un compte de trading qui rende possible l’opération bancaire. Vu que ces actions seront probablement violemment disputées, il est conseillé de parler le plus rapidement possible avec son banquier afin que celui-ci perçoive l’intérêt de son client et puisse le satisfaire au mieux lorsqu’il sera en mesure de le faire.

Reste à savoir maintenant si acheter des actions Facebook vaut vraiment la peine… Le but de la libération d’actions de la part de Facebook est de de lever jusqu’à 10,6 milliards de dollars mais pour certains économistes ce serait peut-être une surévaluation trop importante. Le spectre de l’explosion de la bulle Internet plane et le fond de commerce principal de Facebook, les revenus publicitaires, ne représente pas un marché forcément sûr.

D’un autre côté, les optimistes se souviennent de l’introduction de l’action LinkedIn sur les marchés. Le cours de ce titre avait doublé en un 1 jour.

Alors, ferez-vous partie de l’aventure de cette introduction en bourse ?

 

 

 

En ces périodes d’économie douteuse, l’investissement dans la pierre rassure. Mais contrairement aux idées reçues, le meilleur profit ne se trouve pas forcément dans les agences immobilières. Un investissement plus intéressant ? Acheter des parts de SCPI -Société Civiles de Placement Immobilier-. Le principe est de laisser des professionnels acheter des immeubles pour vous afin de les louer. Les revenus locatifs (moins les frais de gestion) sont reversés aux souscripteurs. La performance annuelle est d’environ 6% par an. Et il existe différentes catégories de SCPI. Celles spécialisées dans l’habitation doivent faire face à des prix d’achat élevés et des loyers stagnants. Les SCPI qui investissent dans des bureaux sont plus performantes mais elles varient beaucoup en fonction de l’état de l’économie. Enfin les SCPI qui sont souvent délaissées mais valent le détour : les “murs de magasins”.

Leur rendement par an est très correct : autour de 5,80% et elles sont surtout très stables. Le boulanger ou le bar de votre quartier sont des établissements loués parfois depuis des dizaines d’années. Le loyer n’augmente presque pas ce qui pousse les locataires à rester. On est donc à l’abri des mauvaises surprises et à l’abri de la crise car les petits commerces se louent toujours facilement. Dernier avantage : il est actuellement possible d’acheter des parts à crédit, les taux sont bas et on peut bénéficier d’avantages fiscaux comme la déductibilité des intérêts d’emprunt. Même la BNP Paribas vient de lancer un OPCI, une sorte de SCPI, mais plus souple sur les règles de donation et succession et dédiée aux commerces. Autant dire qu’en temps de crise, rien ne vaut le petit commerce près de chez soi !

Ah! Que les temps sont dures! Tout est devenu ou presque cher : l’essence, les transports en commun, etc… Si seulement je pouvais trouver une idée géniale qui ne demanderait pas un grand investissement et me permettrait d’arrondir les fins de mois. Mais oui! Evidemment! Je pourrais mettre en location ma seconde voiture. Non seulement ça me permettrait de l’entretenir, mais aussi d’arrondir les fins de mois et même faire des bénéfices! Je pourrais me servir d’un site internet, y insérer une annonce pour trouver des demandeurs. En plus je me propose de la louer à un prix bas , pour faire face à la concurrence. Je suis réaliste , car je sais qu’il s’agit d’un concept nouveau et que les gens seront sans doute réticent à l’idée de louer chez un particulier. Si ça se trouve, peut-être que la voiture est volée. Pas de quoi en faire tout un plat. Les pièces de la voitures seront mis à disposition, ainsi que les renseignements utiles sur ma personne. Cependant, de peur d’être dupé, un GPS de traçage sera installé dans la voiture au cas où quelqun serait tenté de la voler. De toutes les façons, je ne suis pas si naïf, je sais que toute activité comporte des risques et qu’il est possible que je sois perdant dans l’histoire. Mais de toutes les façons, je veux bien tenter le coup. Qui ne risque rien, n’a rien!!http://www.cartebancaireprepayee.net/location-de-voitures-avec-une-carte-bancaire-prepayee/

En France et à Paris en particulier, se pose un problème de logement. Les maisons à louer se font de plus en plus rares et les loyers sont en perpétuels hausses. Dans contexte ,investir dans l’immobilier semble être une bonne idée ,car la demande est forte et le gouvernement semble être dépassé par la situation. Pourtant comme tout affaire, le monde de l’immobilier comporte des risques et implique une préparation à l’avance. Pour tous ceux qui veulent se lancer dans cette activité,voici quelques conseils:

Avoir déjà les moyens de sa politique ,c’est-à-dire suffisamment d’argent.
Limiter votre risque d’investissement pour un début,de peur de perdre gros.
Élargir votre champs de relation ,afin de vous créer des partenariats et de faire la connaissance de potentiels clients
Croire en votre affaire et avoir la confiance en soi. Sachez que si cette aventure aura commencé avec vous,elle ne pourra se poursuivre sans vous.
Entourez vous de personnes d’expérience ou d’experts capables de vous guider.
Soyez curieux ,regardez ce qui se fait autour de vous, parmis vos concurrents par exemple. Soyez à la recherche de nouvelles idéeshttp://fc.cegep-lanaudiere.qc.ca

Les temps sont durs et avec la crise actuelle il est normal de se poser des questions concernant son avenir. L’interrogation qui revient le plus souvent est : qui va payer nos retraites? En effet, le vieillissement de la population inquiète, et le système de retraite par répartition risque de rencontrer des difficultés pour pouvoir perdurer. Il faut donc penser dès maintenant à se protéger en se mettant un petit capital de côté, pour cela rien de mieux que l’investissement dans l’immobilier.

Plusieurs possibilités s’offrent à vous. Tout d’abord, vous pouvez acheter un appartement ou une maison à crédit. Une fois l’appartement ou la maison à votre nom, vous pouvez choisir d’y vivre ou de la louer. La première solution vous permettra de ne pas payer de loyer chaque mois et donc de pouvoir économiser une certaine somme d’argent de manière régulière. Si vous décidez de louer ce bien, vous toucherez chaque mois un revenu supplémentaire que vous pourrez utiliser comme bon vous semble! S’en servir pour payer le loyer de la maison où vous vivez par exemple, ou rembourser le crédit que vous avez souscrit, ou mettre cet argent sur un compte afin de vous construire un petit capital.

Mais attention, être propriétaire a aussi des effets négatifs: toutes les réparations et rénovations seront à votre charge! Et lorsque vous louez votre bien, il faut avoir un peu de chance pour ne pas tomber sur de mauvais locataires! Si ce mode ne vous convient pas, vous avez aussi la possibilité d’assurer votre avenir en achetant en viager. Acheter en viager permet d’accéder à la propriété lorsque que vous n’avez pas d’apport suffisant pour souscrire un crédit mais seulement des revenus permettant un paiement échelonné. C’est à dire que vous passez un contrat avec une personne plus âgée qui possède un appartement. Vous vous engagez à payer tous les frais de celle-ci jusqu’à son décès. Pour le vendeur, c’est un moyen de s’assurer une rente jusqu’à la fin de sa vie. C’est aussi un moyen pour vous de récupérer un bien immobilier au bout d’un certain temps, c’est un pari sur l’avenir.

Bien qu’investir dans la pierre ne soit pas de tout repos, c’est un moyens de s’assurer des revenus supplémentaires pour préparer bien préparer sa retraite!

 

 

Image vue sur: http://www.gestiondefortune.com

A l’instar de ce bol à l’entrée de la maison ou de l’appartement où s’amasse d’innombrables petites choses hétéroclites comme des clefs associées à un cadenas que l’on a perdu depuis longtemps, ou un bonbon qui se périme tous les jours un peu plus, et ce depuis bientôt 4 ans, ou encore la gourmette perdue et jamais réclamée d’un invité d’une soirée quelconque, il y a ces trésors qui restent cachés au fond d’un tiroir, dont personne ne veut s’occuper mais dont personne ne veut se séparer non plus. Je parle bien entendu des bijoux de famille. Qui n’a jamais récupéré un pendentif en or de son arrière arrière grand-mère, duquel vous vous abstenez de juger son esthétique vieillotte, sans savoir quoi en faire? Ils sont tellement vieux que vous n’avez même plus de valeurs affectives pour ces vieilles reliques mais on vous a prié de les transmettre à vos petits enfants. Stop!

Donnez une nouvelle vie à vos bijoux

Au lieu de perpétuer la tradition, qui peut se comprendre lorsque l’on a connu la personne, mais qui perd de son sens au fil des générations, donnez une nouvelle vie à ces objets de valeurs qui sont à vos yeux des babioles plus que des reliques majestueuses venues d’un temps incertain. Votre cœur pur et bon pourrait vous dicter, dans un élan de grande bonté, de les remettre à des œuvres caritatives, mais vous n’êtes pas obligés. Vous pouvez également les amener chez un bijoutier pour leur donner un aspect neuf, un petit coup de polish comme on dit. Ou alors, les revendre à des entreprises qui vous accueilleront à bras ouverts, même si ces bijoux en or sont usés et cassés. Généralement, ils vous paient après expertise des-dits objets par chèque ou virement bancaire. Un apport financier qui pourrait donner un petit coup de collier à vos projets!