En ces périodes d’économie douteuse, l’investissement dans la pierre rassure. Mais contrairement aux idées reçues, le meilleur profit ne se trouve pas forcément dans les agences immobilières. Un investissement plus intéressant ? Acheter des parts de SCPI -Société Civiles de Placement Immobilier-. Le principe est de laisser des professionnels acheter des immeubles pour vous afin de les louer. Les revenus locatifs (moins les frais de gestion) sont reversés aux souscripteurs. La performance annuelle est d’environ 6% par an. Et il existe différentes catégories de SCPI. Celles spécialisées dans l’habitation doivent faire face à des prix d’achat élevés et des loyers stagnants. Les SCPI qui investissent dans des bureaux sont plus performantes mais elles varient beaucoup en fonction de l’état de l’économie. Enfin les SCPI qui sont souvent délaissées mais valent le détour : les “murs de magasins”.

Leur rendement par an est très correct : autour de 5,80% et elles sont surtout très stables. Le boulanger ou le bar de votre quartier sont des établissements loués parfois depuis des dizaines d’années. Le loyer n’augmente presque pas ce qui pousse les locataires à rester. On est donc à l’abri des mauvaises surprises et à l’abri de la crise car les petits commerces se louent toujours facilement. Dernier avantage : il est actuellement possible d’acheter des parts à crédit, les taux sont bas et on peut bénéficier d’avantages fiscaux comme la déductibilité des intérêts d’emprunt. Même la BNP Paribas vient de lancer un OPCI, une sorte de SCPI, mais plus souple sur les règles de donation et succession et dédiée aux commerces. Autant dire qu’en temps de crise, rien ne vaut le petit commerce près de chez soi !

Connaissez-vous les maisons de disque participatives ? Vous aurez sûrement déjà entendu l’histoire du chanteur français Grégoire qui a pu sortir son premier album grâce aux internautes qui ont crû en lui et qui ont investi des fonds dans son projet. Vu le succès de ce genre de plateforme, d’autres se sont lancées dans le même genre d’activité. On peut citer les éditions Prisma qui soutiennent la nouvelle maison d’édition participative nommée Bookly ou My Major Company Books, extention de My Major Company (qui produit justement Grégoire ou Joyce Jonathan).
Le constat de ces nouvelles maisons d’édition est le suivant : combien d’écrivains talentueux ne seront jamais publiés et ne rencontreront par conséquent jamais le succès ? Loin des grandes structures de distribution, l’auteure de Harry Potter, J. K. Rowling aurait envoyé le manuscrit du premier tome des aventures du petit sorcier à une dizaine d’éditeurs avant que un seul seulement lui donne sa chance. Aujourd’hui, ses livres se sont vendus à 450 millions d’exemplaires… Comme quoi, donner sa chance à des inconnus peut devenir un moyen intéressant de soutenir un projet culturel mais aussi de gagner de l’argent…

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Les maisons d’édition participatives mettent en contact les auteurs avec de potentiels investisseurs. Elles publient des extraits de travaux littéraires. Les internautes peuvent s’empreindre de l’univers des auteurs, des livres, des histoires en lisant des résumés mais aussi en discutant directement avec l’écrivain. Une fois convaincu d’avoir trouvé la perle rare qui se vendra comme bestseller, l’internaute investit. Sa mise peut varier entre 10 euros et 500 euros sur le site Bookly. Si assez de personnes parient sur un certain récit, le processus de publication commence. Dans le cas de la plateforme Bookly, les auteurs qui reçoivent 5 000 euros (dans un temps limite de 4 mois) de la part des éditeurs-internautes voient déjà leur travail publié sous forme numérique. Si ils réussissent à récolter encore 15 000 euros de plus (en 8 mois), ils verront les oeuvres publiées en version papier. Dans le cas de My Major Company Books, les auteurs doivent réunir directement 20 000 euros.
Le lecteur devient donc actif en revêtant le costume de membre d’un comité de lecture. En s’associant aux écrivains, il reçoit, en cas de succès, des dividendes proportionnelles à sa mise de départ pendant une durée de 7 ans (Bookly), tandis que l’auteur touche des droits d’auteur. Les investisseurs de Grégoire qui ont parié 200 euros sur ce chanteur auraient déjà touché plus de 1 000 euros. Un rendement x 5, ce qui n’est pas à négliger ! L’internaute peut donner son avis sur le titre, la page de couverture ou sur d’autres éléments. Son nom ou son pseudonyme sera même cité en fin d’ouvrage, dans la section remerciements. En complément, de véritables structures professionnelles aideront l’auteur à faire connaître son livre et à le vendre.

 

Notons encore une information importante pour tous les lecteurs du blog “argent-finance.fr” : jusqu’à la fin de cette année 2012, le 100 % des recettes nettes sera reversé aux auteurs et aux supporters si vous soutenez un auteur sur Bookly.

Ah! Que les temps sont dures! Tout est devenu ou presque cher : l’essence, les transports en commun, etc… Si seulement je pouvais trouver une idée géniale qui ne demanderait pas un grand investissement et me permettrait d’arrondir les fins de mois. Mais oui! Evidemment! Je pourrais mettre en location ma seconde voiture. Non seulement ça me permettrait de l’entretenir, mais aussi d’arrondir les fins de mois et même faire des bénéfices! Je pourrais me servir d’un site internet, y insérer une annonce pour trouver des demandeurs. En plus je me propose de la louer à un prix bas , pour faire face à la concurrence. Je suis réaliste , car je sais qu’il s’agit d’un concept nouveau et que les gens seront sans doute réticent à l’idée de louer chez un particulier. Si ça se trouve, peut-être que la voiture est volée. Pas de quoi en faire tout un plat. Les pièces de la voitures seront mis à disposition, ainsi que les renseignements utiles sur ma personne. Cependant, de peur d’être dupé, un GPS de traçage sera installé dans la voiture au cas où quelqun serait tenté de la voler. De toutes les façons, je ne suis pas si naïf, je sais que toute activité comporte des risques et qu’il est possible que je sois perdant dans l’histoire. Mais de toutes les façons, je veux bien tenter le coup. Qui ne risque rien, n’a rien!!http://www.cartebancaireprepayee.net/location-de-voitures-avec-une-carte-bancaire-prepayee/

Vous n’avez pas un très gros budget pour partir en vacances cette année ? La crise, le chômage, … Ces problèmes vous ont touché et les finances ne sont pas ou beau fixe ?

Pour quand même partir en vacances cette année, il existe peut-être une solution : Louer son appartement durant ses absences. De cette façon, vous pourrez par exemple partir en vacances et faire du camping et vous pourrez financer ce voyage avec l’argent qui découle de la location de votre logement. En général, les locations de vacances rapportent plus d’argent qu’une location mensuelle. Attention toutefois : il est recommandé d’avoir l’accord du propriétaire du bien mobilier (en l’occurrence, si vous êtes déjà locataire et que vous souhaitez sous-louer). Les étudiants qui ont un appartement pour leur études et qui durant de longues période de congé s’absentent de leur ville universitaire pour rentrer chez leurs parents par exemple, peuvent aussi penser à cette solution pour économiser.
Des petites annonces sur internet peuvent être utiles pour trouver son locataire et pour établir un premier contact. (Connaître la personne, lui dire ce que celle-ci trouvera dans l’appartement, …) N’oubliez pas de prendre le maximum d’informations sur le loueur pour qu’en cas de problème (vol, dégât) vous puissiez vous retourner contre lui !